6 mars 2012
Mais, cessons de geindre... par J-Marc
Je veux rester dans ce désir de confier ma souffrance à Dieu et j’aimerais tellement emporter avec moi la souffrance de beaucoup d’autres, pour la déposer au pied de la croix.
Tous ces autres qui délibérément vont au devant de la souffrance : défenseurs de la liberté dans leurs pays opprimés, opposants politiques enfermés des années.
Tous ces autres qui vivent dans la misère depuis leur plus jeune âge, qui manquent de tout y compris des soins les plus élémentaires.
Alors que je suis entouré de gens qui ne me veulent que du bien, de médecins compétents, d'infirmières compatissantes : en France, c’est presque un plaisir d’être malade.
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